vendredi 9 avril 2010

Down in Albion (Part 1: Monday)

Voici enfin le récit tant attendu (au moins par Siria et Auré) de notre voyage à Londres!!!


Vu tout ce qu'il y a à raconter (et le découragement terrible qui m'assaille à l'idée de mener à bien cette tâche en une fois), j'ai prévu de publier la chose en 5 posts (à savoir un pour chaque jour du périple).

Tant qu'à faire, je me suis dis que ce serait sympa d'accompagner chaque billet d'une chanson que j'aime se rapportant à Londres (ce qui explique cette musique que vous entendez depuis que vous avez eu la bonne idée d'ouvrir cette page, si vous souhaitez l'arrêter filez en bas de l'article pour trouver le lecteur).

Bref! Venons en à la narration de nos aventures qui commencent par un beau lundi matin.

Je vous épargne nos derniers préparatifs qui n'ont rien de passionnant (seul fait notable j'étais tellement excitée par le voyage, que bien que n'étant pas du matin, j'étais hyper enthousiaste et presque énergique) pour en venir directement à notre arrivée à l'aéroport.

Petit budget oblige, nous embarquons à MP2: c'est minuscule, dénué de déco et il n'y a quasiment pas de boutiques, en somme on sent bien que c'est la partie 3éme classe comme au bon vieux temps du Titanic!

Le plus ironique là dedans, c'est que toutes les fois où je suis venue à Marignane jusque ici, c'est en soutien aux sans-papiers dans la partie MP1 (sans doute est-ce pour leur laisser un doux souvenir de France qu'on les fait embarquer dans la partie de luxe...)!

Pressées de nous débarrasser du grand sac, nous entreprenons immédiatement de faire la queue pour enregistrer notre bagage avant d'aller manger.

Les filles commencent illico à prendre des photos et je réalise que malgré ma sainte horreur de ça, je vais être matraquée pendant tout le séjour (je ne savais pas encore que j'y aurai droit dès le réveil et même endormie)!

Le sac enfin posé, nous revenons au comptoir du bar à pâtes pour nous sustenter. Après avoir attendu trois plombes, sans que personne ne s'occupe de nous, une femme d'un certain âge arrive et daigne nous servir.

Une fois les raviolis engloutis et Siria rechargée en nicotine, nous nous dirigeons vers la zone d'embarquement et les contrôles commencent!

Non content de poser son bagage à main, il faut placer manteau, bagues, montre, etc dans un bac qui passera aux rayons X, tandis que soi-même on traverse le portique.

Manque de bol, ça sonne pour Siria mais heureusement nous ne sommes pas aux USA et le problème est rapidement résolu.

Ensuite, il faut faire la queue pour présenter nos papiers à mes "amis" de la PAF puis les billets sont recontrôlés par Easyjet et enfin on se trouve face à trois files (dont une prioritaire qui n'est pas pour nous).

La file prioritaire est invitée à gagner l'avion environ une minute avant qu'on ne lâche les deux autres files et ensuite c'est la course!

Auré court presque sur le tarmac pour atteindre l'avion au plus vite, tandis que Siria et moi, sidérées, suivons comme nous pouvons!

La célérité d'Auré est bien récompensée puisque nous parvenons ainsi à avoir trois places côte à côte.

Pour mon baptême de l'air les filles me laissent le hublot, bien que pas spécialement angoissée à l'idée de prendre l'avion, juste avant le décollage je commence quand même à stresser et subitement je flippe en m'apercevant que je n'ai pas de chewing-gum!

Auré en sort prestement un paquet de son sac et me voilà momentanément rassurée.

L'avion décolle enfin, ça bouge pas mal et les filles pourtant habituées non pas l'air très rassurées...

Je m'agrippe aux accoudoirs en disant "Oh mon dieu, oh mon dieu!" puis réalisant ce que je fais, je me retourne vers les filles "Oh putain, je dis "oh mon dieu" alors que j'y crois même pas!".

Les turbulences cessent et le vol continu paisiblement, au point que je sommeille une bonne partie de celui ci.

Sur l'insistance d'Auré, j'ai tout de même pris quelques photos et je dois avouer qu'elle avait raison car c'est tout de même super beau de flotter au dessus des nuages.




L'atterrissage se déroule sans encombres et nous avons la joie de sortir à nouveau nos cartes d'identité avant de pouvoir filer récupérer nos bagages sur le tapis roulant.

En sortant nous passons par la boutique "duty free" (surnommée duty frutty) où nous nous jetons sur une bouteille d'eau minérale (puisqu'à moins de se trimballer des minuscules flacons de 100ml dans une pochette plastique, on ne peut pas emmener d'eau dans l'avion car c'est...un liquide! Effrayant n'est-ce pas?).

Ensuite nous partons à la recherche du train "national rail" en partance pour Londres.

Après avoir errées sans succès, Siria décide de demander de l'aide à une sorte d'accueil et là le type ne comprend rien!

J'essaie moi aussi et il ne capte pas d'avantages!

En désespoir de cause, je lui montre les papiers et il nous indique un autre guichet où la jeune femme très sympathique parle assez bien français et nous renseigne correctement.

Intérieurement, je commence à m'en faire pour la suite du voyage, si notre anglais est si mauvais qu'on ne parvient même pas à se faire comprendre pour trouver un quai!


Dans le train mon malaise empire, j'ai l'impression que nous sommes les seules touristes, les gens ont l'air de se faire chier comme partout ailleurs, le paysage n'est pas si exceptionnel...

Et puis nous approchons de Londres, l'architecture particulière des maisons éveille mon intérêt et me sort un peu de mon coup de cafard puis c'est l'arrivée en gare de Victoria!

Là il nous faut trouver le métro et acheter les oyster card.

J'arrive à un guichet, je demande les fameuses cartes et la dame me comprend!

Mieux que ça, je la comprends aussi quand elle me dit que ce n'est pas le bon guichet et m'indique où aller!

Là c'est le soulagement, cette dame avait un accent indien et nous nous sommes comprises, j'en déduis que le gars de l'aéroport n'a donc probablement fait aucun effort pour nous comprendre et j'en suis toute rassérénée.

Les guichets pour les fameuses oyster cards se trouvent à l'extérieur, nous sortons donc et prenons nos premières photos dont le traditionnel cab et le bus rouge.




 C'est aussi la que Siria voit le premier Starbucks coffee (premier d'une longue lignée puisqu'il y en a quasiment à chaque coin de rue de Londres ^^)!

Je pars à l'assaut du guichet oyster et les filles me rejoignent dans la file, le gars du guichet semble saisir globalement ce que je lui dis et il en est de même pour moi, je suis aux anges!

Nos oyster cards en poche, nous nous dirigeons gaiement vers le métro et constatons que tout est très bien indiqué (pour une fois je ne fais pas de l'ironie).

Ce qui est impressionnant c'est cette abondance de pubs partout, il y a même des écrans plats tout le long des escalators!

Par le biais de ces annonces publicitaires, nous constatons que les anglais réalisent un nombre incroyable de comédies musicales mais aussi que la paranoïa est ambiante (caméras partout, campagnes de prévention contre les pickpockets, les enlèvements par des taxis non conventionnés, etc.).

Nous descendons à Lancaster gate, Auré munie du plan nous indique la rue et 5 minutes après nous arrivons devant notre hôtel.

Après avoir galéré un peu pour payer chacune notre part séparément et comprendre qu'Auré serait remboursée de son avance, nous nous engageons dans l'ascenseur.

Bien que le hall et le personnel nous aient fait bonne impression, les couinements de l'engin ne sont guère rassurant.

Heureusement, la machine nous dépose finalement au troisième étage.

Nous nous dirigeons vers notre chambre en suivant l'ordre de numérotation logique mais il semble que la logique anglaise à ce sujet soit différente de la notre puisque notre chambre demeure introuvable.

La femme de ménage très sympa remarque sans doute notre air égaré et nous indique notre chambre qui se trouve en fin de compte à l'autre bout du pallier!

L'appart est impeccable, tout est propre, bien agencé, vu toutes les mauvaises surprises qu'il y a dans les hôtels londoniens à petits prix, nous sommes ravies!!!

Coin cuisine-salle à manger-salon


Chambre


Salle de bain

Alors que je pense que la troisième dormira sur le canapé, la femme de ménage, décidément adorable, toque à la porte et nous dit de téléphoner à la réception pour obtenir le troisième lit.

La réception me propose de passer dans 50 minutes, comme nous souhaitons sortir sur-le-champ, je demande s'il est possible de récupérer le lit ce soir et la jeune femme accepte sans problème.

Nous entreprenons de planquer nos papiers importants dans l'appart (souvenez-vous bien de ce détail, on en reparlera dans un des post suivant) et juste avant de partir l'électricité saute brusquement!

Il nous reste la lumière mais plus de tv, plus de frigo, ni de micro-onde...

Comme nous n'avons pas envie de retarder notre virée, nous décidons de partir en ville et d'avertir la réception plus tard.

Après un passage express au British Museum (nous avons eu une demi-heure avant de se faire dégager pour la fermeture) et un nouveau voyage en métro, nous débarquons à Camden town!

La première boutique que je vois est un "American Apparel", coïncidence amusante car ma meilleure amie bosse justement dans cette entreprise.

Il y a toutes sortes de fringues splendides et pas chères, au dessus des devantures il y a des décos magnifiques, on croise toutes sortes de gens, je suis immédiatement conquise.

Sous le charme du lieu, j'envisage un instant de me faire tatouer la feuille elfique qui me plait depuis tant d'années sur place!



Siria me ramène sur terre en me causant entre autres hygiène, style graphique du tatoueur, bonne compréhension de ma demande et capacité à se retourner si le boulot était mal fait.

Ses arguments étant tout à fait pertinents, nous continuons agréablement la balade.








A la place où aurait du être la tête du mannequin, remarquez le merveilleux
petit panneau indiquant que l'on ne doit pas prendre de photos ;-)


En remontant la rue principale, nous tombons sur un énième Starbucks coffee, joliment situé au bord de l'eau.


La petite terrasse avec toutes les lumières sous l'arbre c'est le Starbucks!


Puis la faim se faisant sentir nous nous mettons en quête d'un restaurant.

Intriguées par un restaurant où il faut emprunter un escalier roulant, nous regardons le menu pour constater que les prix sont prohibitifs.


Le resto trop cher pour nous!

Finalement nous retournons au resto chinois à volonté repéré un peu plus tôt et sur le chemin nous tombons nez à nez avec cet excellent T-Shirt:



Une des serveuses nous amène des petits bols d'eau avec du citron, nous supposons qu'il s'agit de rinces-doigts mais n'osons y toucher de peur de passer pour des débiles s'il s'avérait que c'était autre chose.

En volant commander un pichet d'eau, je réalise que j'ai en réalité donné mon accord pour qu'on nous apporte une bouteille d'eau minérale (c'est justement ce que nous voulions éviter ^^).

Nous partons nous servir au buffet et là surprise, au milieu des victuailles asiatiques, nous trouvons des frites!

Ma première assiette finie, la serveuse se précipite pour me l'enlever.

Affolée, je m'accroche à demie à l'assiette craignant que mon repas ne se termine là.

Après explications, il s'avère que l'on peut se resservir en prenant une assiette propre.

Au point où nous en sommes, quitte à passer pour des dingues, Siria demande finalement ce qu'il en est des bols et se sont bels et bien des rinces-doigts.

Après m'être servie copieusement une seconde fois au buffet, j'avise une affichette indiquant que le temps passé dans le restaurant ne doit pas dépasser 1h30 et que tout gaspillage sera facturé 10£ supplémentaires!

Un vent de panique nous envahit Siria et moi, au vue de la masse de nourriture dans nos assiettes, constituée en partie de plats pris "pour tester".

Finalement, en procédant à d'habiles échanges, en fonction de ce qui nous plait ou non, nous parvenons à vider nos assiettes et je repars même pour un petit poulet au curry classique!

A un moment, Siria s'exclame médusée: "Vous avez vu le mec?! Il a disparu!!!"

Auré et moi la regardons interloquées puis alors qu'elle nous montre l'endroit où s'est produit cette incroyable disparition, nous réalisons que le gars est simplement parti aux toilettes.

Siria ne semblant pas satisfaite par notre explication, nous lui expliquons que les toilettes sont là où le gars a "disparu" mais qu'ils sont discrets grâce à un jeu de miroir (non Siria n'est pas blonde mais maintenant on sait que lorsqu'elle est fatiguée il n'y a pas besoin d'être Houdini pour l'émerveiller).

Après le repas nous décidons de quitter Camden pour aller faire un tour à Piccadilly Circus.

A peine sorties du métro, nous voilà projetées dans un décor de films avec les panneaux publicitaires géants et la fontaine avec l'ange (je suis plus atteinte par la société de consommation que je ne le pensais pour mentionner les pubs avant la fontaine ^^).



Fontaine de Lord Shaftesbury

Un jeune homme nous distribue un prospectus pour un musée nommé "Believe it or not" ouvert jusqu'à minuit.




Le principe a l'air amusant et dans la foulée nous apercevons à l'entrée un gros personnage rigolo façon Disney avec qui Siria s'empresse de faire une photo (enfin ci dessous c'est un bout d'Auré qu'on peut apercevoir).



En rentrant dans le hall, le prix nous fait nettement moins rire mais nous n'avons rien de prévu pour la soirée et je suis surexcitée comme une gamine le jour de Noël à l'idée de voir pleins de trucs bizarres et de devoir deviner si c'est vrai ou faux.

Mon enthousiasme s'avère communicatif et nous prenons donc nos tickets avec le labyrinthe des glaces inclus.

Le voyage commence avec une mini voiture rouge toute mimi puis nous montons dans un ascenseur psychédélique où les parois lumineuses sont emplies de couleurs qui changent!

A l'étage, il y a une chaise géante où une jeune femme du musée a  la gentillesse de nous prendre en photo toutes les trois, une soi-disant voiture en diamants qui brille de milles feux, un T-rex qui manque nous bouffer...

Un peu plus loin, on trouve un formidable hologramme de Ripley (l'homme ayant inventé le magasine racontant des faits étranges mais souvent vrais à l'origine du musée) qui interagit avec l'environnement en ouvrant son bureau, etc.
L'effet est bluffant, on se croirait face à un fantôme à la Obi-Wan Kenobi!


L'aspect vraiment sympa et original de ce musée est de pouvoir tester un tas de choses.

Par exemple, prendre des photos avec une table qui donne l'impression par un jeu de miroir que vous êtes cul-de-jatte, mettre ses pieds sur un écran qui reproduit la surface de l'eau oscillant en fonction de vos mouvements, essayer d'ouvrir un portail qui semble inviolable et revenir réessayer après avoir lu la solution avec stupéfaction un peu plus loin, mettre ses mains dans une eau à la température de l'océan lorsque le Titanic a coulé (et là on comprend bien ce que voulait dire Jack en parlant de milliers de lames qui s'enfoncent dans tout votre corps et pourquoi tant de gens sont morts)...

 Pour l'effet "femme sans tête", rien à voir avec le musée, c'est le sort que je me réserve sur toutes les photos (j'ai fait pareil pour vous les filles mais si vous voulez apparaître en entier dites le moi)

Il y a une partie originale centrée sur le corps et la variation de l'idéal de beauté à travers les époques.
Pour mieux illustrer le propos, on y voit notamment des bustes où la poitrine et la taille s'ajustent (quel dommage que le corps humain ne fonctionne pas aussi facilement).

Marylin Monroe a une statut de cire la représentant telle qu'elle était vraiment (avec la cellulite, le maquillage dont elle avait besoin, etc) et malgré tout elle reste belle, c'est assez réconfortant.

Après toutes ces découvertes, nous arrivons au palais des glaces.

Deux gars soi-disant Italiens (Siria et moi ne sommes jamais tombées d'accord à ce sujet) discutent avec la jeune femme qui distribuent les gants (pour éviter que les touristes et leurs doigts gras ne salopent les vitres) et engagent la conversation avec nous.

Après avoir rigolé deux minutes, nous nous engageons dans le labyrinthe.

Un monsieur à l'air de errer là depuis un moment et il semble complètement paumé.

Par miracle, je trouve très rapidement la sortie (cela dit moi qui n'ai habituellement aucun sens de l'orientation, je me suis découverte particulièrement dégourdie pour me diriger dans Londres ^^).

A l'entrée du labyrinthe, c'est désormais un mec que nous avions vu plus tôt qui distribue les gants.

Il nous propose de refaire un tour et les "Italiens" se proposent de nous accompagner, nous acceptons le tour mais déclinons l'offre des "Italiens" et là rebelote je trouve la sortie en moins de deux!

Pour finir nous passons par le "spinning tunnel" à l'effet décoiffant!

Marcher là dedans, c'est comme essayer de traverser un pont en corde secoué par les vents ou alors plus prosaïquement être complètement torché. Il suffit de fermer les yeux et là on peut le traverser en tout sens sans soucis.

C'est là qu'on voit que notre cerveau est sujet à des illusions incroyables qui peuvent avoir un effet impressionnant sur notre organisme!



 Petite vidéo illustrant le principe 
(au musée les lumières tournaient beaucoup plus vite ^^)

A la sortie du musée, nous atterrissons dans la boutique de souvenirs, nous discutons un peu avec la vendeuse et partons d'un bon pas histoire de faire quelques courses.

Une fois dehors, nous constatons qu'Auré ne nous a pas suivies, nous revenons donc sur nos pas et trouvons Auré et la nana du musée mortes de rire.

Auré nous explique qu'elle voudrait aller aux toilettes et qu'elle a demandé les "w-c (doubleiou-ci)".

Quand on traduit à la jeune-femme, elle rit de plus belle car elle pensait qu'Auré cherchait le métro ou quelque chose du genre.

Elle est vraiment adorable puisque les toilettes étant à l'intérieur du musée, elle nous ramène dedans à travers les passages pour le personnel et nous explique qu'un de ces collègues nous récupérera à la sortie de l'ascenseur.

Le collègue en question s'avère être celui du labyrinthe des glaces, il rit bien de notre mésaventure et nous discutons avec lui de Marseille tandis qu'Auré satisfait ses besoins naturelles.

Il nous ramène ensuite à la boutique, où nous remercions bien sa collègue, avant de repartir en leur laissant sans doute un souvenir impérissable.

Une fois sorties, nous tentons de faire quelques courses au magasin du coin mais on n'y trouve quasiment rien à manger à part des sandwichs ou des trucs en portions individuelles...

Nous décidons de repousser les achats de bouffe au lendemain et de partir faire un tour dans Soho.

C'est très amusant comme quartier, les théâtres où se jouent des comédies musicales mythiques, comme Hair ou Grease, côtoient les sex shops.



Sur le chemin du retour s'ensuit un débat crucial, allons-nous oser, à  minuit passé, dire à la réception que l'électricité a sauté dans notre chambre en début d'aprèm?!

Au final nous n'osons pas et leur demandons simplement s'il est toujours possible d'avoir le troisième lit.

Dans la chambre, le débat reprends de plus belle!

Est-ce qu'on lui ment quand il vient apporter le lit en faisant croire que l'électricité vient de sauter?!

Finalement ce ne sera pas utile, Auré (subitement habitée par l'esprit de Mac Gyver) trouve le disjoncteur et rétabli en quelques secondes tv, micro-ondes et frigidaire!

Timing impeccable car le gars arrive avec le lit sur ces entrefaites!

C'est sur cette victoire d'Auré sur la technologie que s'achève notre première journée à Londres (en réalité on s'est douchées, vautrées devant la tv en papotant, mise en pyj, etc, mais c'est pas franchement passionnant à raconter).

3 commentaires:

  1. Youpi !

    Enfin le compte-rendu de ces fameuses journées ^^
    Déjà ce qu'on peut dire, c'est que vous n'avez pas chômé pour votre premier jour!
    Sinon en vrac, une très belle robe (bien qu'on ait pas le droit de la photographier), un tatouage ? ça t'irais bien, mais à quoi ressemble ce que tu veux te faire ?
    ah et bravo à Auré et son esprit de MacGyver ^^
    Vivement la suite!

    PS : comment tu fais pour insérer des lecteurs deezer ? j'y arrive plus moi ><

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  2. Quel résumé, je n'aurais pas pu faire mieux ^^
    tu as bien choisi les photos, et je te laisse gérer pour la suite (je m'en fous si tu me coupe ou pas)
    T'as raison Do, j'ai eu un éclair de lucidité pour le disjoncteur ^^
    Quel voyage ^^ et merci de me les remémorer.

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  3. Ça c'est sur que ça a été un sacré voyage et encore là il n'y que le premier jour!

    Pour les lecteurs deezer tout est expliqué là http://geemee.hautetfort.com/archive/2009/02/12/un-lecteur-exportable-deezer-quand-meme.html

    En tout cas je suis contente d'avoir l'approbation officielle d'une de mes deux compagnes de voyages ;-)

    Je vais essayer de ne pas trop tarder pour la suite!

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